J’ai commencé à m’intéresser à la photographie à l’école dans les années 1970. J’étais sans espoir dans la plupart des formes d’art; Je ne savais ni dessiner, ni peindre, ni sculpter. Mais l’école avait une chambre noire, et l’un des professeurs d’art a apporté un vieux SLR pour le petit groupe d’entre nous qui voulait apprendre tout le processus de prise de vue, de développement et d’impression. J’ai été immédiatement accro, aimant la combinaison de l’art (visualiser l’image) et de la science (en la réalisant).
Mon premier appareil photo sérieux était un Zorki 4, un cadeau d’anniversaire de mes parents. Beaucoup d’économies grâce à des emplois à temps partiel m’ont permis d’acheter un Pentax Spotmatic F d’occasion. Puis, à l’université, j’ai opté pour un Canon A1 après avoir lu une critique du regretté grand Victor Blackman. Il avait été invité à une conférence de presse à Brands Hatch et voulait savoir si une caméra entièrement électronique pouvait résister au traitement que les pros lui donneraient. Il l’a donc mis dans l’herbe du paddock et l’a laissé là pendant une demi-heure lors d’une forte averse. Le responsable des relations publiques de Canon n’était pas très satisfait, mais Blackman a expliqué que les pros passaient beaucoup de temps sous la pluie et que l’appareil photo venait de passer son premier test.
Le Canon et une paire de zooms Vivitar Series 1 (le 28-105 et le 70-210) m’ont bien servi pendant longtemps jusqu’à ce que je passe au numérique. L’intérêt de mon partenaire pour le cinéma a ravivé la flamme. J’ai maintenant un EOS 5, je peux donc utiliser mon verre EF existant. Mais j’ai récemment acheté un EOS 650 comme deuxième boîtier de film potentiel. Il était livré avec un Canon 28-105, et ces cinq images étaient le résultat d’un test de film sur cette combinaison.
J’ai vécu à Londres la plus grande partie de ma vie d’adulte, et Oxford Street semble avoir été en déclin constant, avec de plus en plus de magasins vendant de la camelote aux touristes. Mais en me rendant à la Photographers’ Gallery pour acheter d’autres pellicules, il m’est venu à l’esprit qu’une promenade le long d’Oxford Street avec un appareil photo pourrait être une idée intéressante.
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C’est le produit d’une promenade du dimanche après-midi de Marble Arch à Bond Street. Fomapan 100 à partir d’un rouleau en vrac dans Bellini Duo Step (parce que j’ai aussi repris le développement de mon propre film). Ils sont peut-être un peu plus contrastés que je ne le souhaiterais, donc je pourrais revenir à mon chemin de retour, lorsque le HC110 préféré. La dernière fois, Kodak Tri-X dans le HC110 à l’ancienne était ma combinaison de choix. Pour diverses raisons, je n’aimais pas ILFORD HP5 PLUS, mais vu les prix d’aujourd’hui, je ne suis pas sûr de pouvoir justifier l’achat de Tri-X. Kentmere 400 dans la nouvelle version de HC110 ou Pyro 510 pourraient être les prochains à essayer
Comme je n’avais pas fait plus de la moitié d’Oxford Street au moment où j’avais terminé le rouleau, il pourrait y avoir une deuxième partie à tourner à partir de la fin de Tottenham Court Road.
De la même manière, je ne pense pas que la photographie soit simplement de l’art, je ne souscris pas à l’idée que la « photographie de rue » est un genre à part. Il y a un peu trop d’artifice dans cette approche à mon goût. Plutôt que d’attendre le « moment décisif », pourquoi ne pas vous tester en allant quelque part et voir avec quoi vous pouvez revenir ?
~ Steve
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